Graziella Guerrier - Au flambeau de l'espoir - Graziella Guerrier - Poésie

Aller au contenu

Menu principal :

Graziella Guerrier - Au flambeau de l'espoir

 
 


Tourner la page

 
 
 

Elles fondent petit à petit les promesses...
Le temps a décidé d'effacer le sanglot,
Les phrases et les pas d'un monstrueux complot.
Pour mon âme il n'est plus que l'ombre de mes fesses !

L'amour physique est mort... je donne mes caresses
Au jardin renaissant des cendres de l'îlot.
Le marin est peiné... guette par le hublot
La terre féconde et ses promises déesses.

Le soleil au zénith brûle ses vains espoirs :
Nul retour n’est possible au cœur des encensoirs.
L'oubli sera le maître et l'avenir sa chance.

Au seuil d'un renouveau -guérisseur des regrets-
Courant, l'esprit léger, je soumets à l'urgence

L'exaucement naïf de mes vœux indiscrets.

 
 
 
 
 
Retourner au contenu | Retourner au menu